HISTOIRE

LA PAROISSE D'OSNY

L’EGLISE D'OSNY

 

VISITE DE L'EGLISE

Photographie extraite du CD-ROM OSNY, Grande et petite histoire
                                                       J.Gilles.
                                    Edité par la Société Historique de Pontoise.

HISTOIRE DE LA PAROISSE D'OSNY

 

Avant le XIII° siècle, Osny faisait partie de l'archidiaconé Saint-Mellon de Pontoise,
avec les paroisses d'Ennery, Livilliers, Gènicourt et Puiseux.

Dès le XI° siècle, les comtes du Vexin avaient cédé l'archidiaconé de Pontoise à l'Archevêque de Rouen, à condition qu'un délégué de ce dernier y eût sa résidence personnelle. En 1255, une charte du roi Saint Louis confirme cette donation. Un hôtel du XIII° siècle, puis l'actuel Musée Tavet de Pontoise construit sur son emplacement, furent successivement la résidence des Grands Vicaires de Pontoise.

Au XIII° siècle le patronage de la Paroisse d'Osny est alternatif entre le Chapitre de Beauvais et l'archidiacre de Pontoise, dépendant lui-même de l'archevêque de Rouen.

Le 14 octobre 1479, l'église d'Osny est consacrée à « Saint Pierre apôtre » par l'évêque coadjuteur de Rouen.

L'église d'Osny a sans doute vu passer trois grands Saints du XVll° siècle :

Saint Vincent de Paul, la bienheureuse Marie de l'Incarnation,
Saint Jean Eudes, dont les attaches avec la région étaient nombreuses.

En 1604, le maître de l'école d'Osny était rétribué par la Fabrique de la paroisse d'Osny.

Sous la Révolution, l'église resta ouverte au culte jusqu'à la Toussaint 1793. Après cette date, le mobilier fut dispersé et beaucoup d'ornements vendus. Les cloches, réquisitionnées le 15 août 1792 par le Comité de surveillance des personnes suspectes. Le culte sera rétabli en 1802 après la signature du Concordat.

 

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HISTOIRE DE L’EGLISE D'OSNY

 

L'église a été construite à I'emplacement d'un édifice roman datant de la fin du II° ou du début du XII° siècle, dont on retrouve les vestiges dans le transept actuel (piliers du transept et des croisillons, un chapiteau décoré de palmes entrelacées avec des masques humains). Un chapiteau de ce bâtiment roman primitif se trouve au musée Tavet à Pontoise. Il représente deux combattants à pied, vêtus de longues cottes de mailles et se protégeant d'un bouclier ovale Déposé lors de la modification de l'église an XIII° siècle, il a été donné par le Conseil Municipal d'Osny en 1895.

A la fin du XII° siècle, la voûte du croisillon nord a été refaite.

L'église actuelle a été élevée dans la première moitié du XIII° siècle. Elle fait partie des premiers édifices du Vexin à être remaniés dans le style gothique.

De cette époque date la reconstruction :

 

Des quatre travées (chœur et chapelles).

 

De la nef et des bas-côtés (qui seront ruinés pendant la guerre de 100 ans).

 

La modification et le surhaussement de la croisée du transept, lors du remplacement du chœur et de la nef de l'église romane.

 

La construction du clocher et de la tour, selon le modèle en vogue à I'époque.

Dans le courant du XIII° siècle les chapiteaux et la voûte du croisillon sud ont aussi été refaits. Les deux petites chapelles de part et d'autre du chœur : celle de saint Jacques à gauche, de la Vierge‑mére à droite, datent de la même époque.

La statue de la Vierge, dont on voit une reproduction, date du XIV° siècle.

En 1432, pendant la guerre de 100 ans, l'église est saccagée par les Anglais ; la nef et les bas côtés sont ruinés.

L'église, rebâtie, sera consacrée le 14 octobre 1479 et dédiée à Saint Pierre aux Liens (dont une statue récente se trouve dans le bas-côté gauche).

Au XVI siècle, la fenêtre du chevet est remplacée par une large fenêtre en plein cintre à remplage Renaissance, avec trois formes et un oculus. Sans doute à la même époque ont été peintes des fresques sur la voûte du chœur (le Christ bénissant et les instruments de la Passion) et du sanctuaire (les quatre évangélistes). Malheureusement, on n'en distingue plus que les traces.

Courant XVI°, début XVII° des prêtres et des notables sont inhumés dans la chapelle de la Vierge et celle de Saint Jacques. Des pierres tombales du XVII° sont déplacées de la chapelle Saint Jacques, et ultérieurement transportées au musée Tavet de Pontoise

Le 15 août 1792, les cloches sont réquisitionnées par le Comité de surveillance des personnes suspectes, puis fondues pour en faire des canons. Elles seront remplacées après la Révolution, et les nouvelles baptisées en 1819.

Vers 1870 la toiture d'origine de la tour de l'église a été modifiée et remplacée par une toiture en hache.

A la fin du XIX°siècle, l'édifice en piteux état, complètement délabré, menaçait ruine. L'évêque de Versailles s'en était même plaint. Grâce à un legs, à la participation des paroissiens, et à diverses subventions, les travaux de réfection ont pu être assurés. En 1895, la nef et les bas-côtés ont étés reconstruits, dans un style imitant celui du XIII° siècle, avec réemploi de quatre chapiteaux anciens. La croisée modifiée a perdu ses chapiteaux romans (dont l'un a été recueilli au Musée Tavet de Pontoise), mais a gardé sa voûte du XIII° siècle qui a été percée d'un trou de cloches. A l'occasion de ces travaux, l'auvent qui protégeait la petite porte latérale a été supprimé.

En 1926 et 1948 le chœur et le clocher ont été classés monuments historiques.

En 1945 la chapelle de la Vierge a été restaurée par les habitants d'Osny et d'Immarmont en reconnaissance après la guerre.

Plusieurs éléments de la décoration (vitraux, chemin de croix) sont récents. Ils ont tous été offert par des paroissiens depuis 1943.

Les parties anciennes de l'église (clocher, chœur, croisillons) ont été restaurées extérieurement en 1982.

Le cimetière entourait l’église. Il fut désaffecté en 1824, en partie exhumé en 1879.

 

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VISITE DE L'EGLISE

 

 

 

Le Chœur

 

Fin XI° siècle ou

début XII° siècle

 

 

 

 

 

 

 

Le Clocher
Les cloches

 

 

 

XIII° siècle

Le Transept

 

La Chapelle
Saint Jacques

La Chapelle
de la Vierge Marie

XIV° siècle

 

 

XVI° siècle  et

XVII° siècle

 

 

 

 

 

XVIII° siècle

Bas-coté Nord

Bas-coté Sud

 

XIX° siècle

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Les Extérieurs

La Nef

 

 

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LA NEF ET LES BAS-COTES

 

.La nef et les bas-côtés, qui dataient du début du XIII° siècle, ont été complètement saccagés pendant la guerre de Cent Ans, et reconstruits en 1479.

Ils seront à nouveau totalement refaits en 1895. dans un style imitant celui du XIII° siècle (y compris la frise à modillons). Les fondations anciennes de l'église ont été conservées. Quatre chapiteaux anciens de la nef ont été réemployés. La nef et les bas-côtes ont été voûtés en briques creuses, et quelque peu surhaussés.

.Le vitrail côté ouest, au-dessus de la tribune, quadrilobé, porte la signature de Marie-Cécile Tellier, et date de 1991.

BAS-COTES NORD

.Le grand Christ en bois actuellement placé face à la petite porte d’entrée date sans doute du XVIII° siècle ; il a longtemps surmonté le maître-autel dans le chœur.

.Une statue de saint Pierre aux liens, assez récente, représente le saint patron de I'église d'Osny. Elle évoque sa libération miraculeuse (ch. 12 des Actes des Apôtres).

.La statue de saint Expedit près des fonts baptismaux, a été offerte par les paroissiens d'lmmarmont en remerciement des grâces obtenues du soldat martyr. Elle a été placée dans l'église le lundi de Pentecôte 1941.

.Les vitraux nord sont de 1991.

 

BAS-COTE SUD

.II abrite des statues de sainte Thérèse de l'Enfant jésus, de sainte Jeanne d'Arc, de saint Joseph (dont la salle paroissiale voisine porte le nom). Les vitraux sud datent de 1945 et 1984 et celui au‑dessus de la petite porte de 1991.

 

.Le chemin de croix qui fait le tour de I'église est I’œuvre d'un artiste parisien. Don d'une paroissienne, il a été installé en 1983.

 

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LE CHŒUR

 

.Le chœur date du XIII° siècle. Il est classé Monument Historique ainsi que le clocher(1926 et 1948).

Son axe est fortement dévié vers le nord par rapport à celui de la nef.

.Il comprend deux travées.

.La première travée est flanquée de chapelles carrées, dont les pignons sont à l'alignement des croisillons, et couverts par le même rampant.

.La deuxième travée, formant abside, possède un chevet plat. Elle est éclairée latéralement par de courtes lancettes non ornées. La fenêtre du chevet a été remplacée au XVI° siècle par une large fenêtre en plein cintre a remplage Renaissance comportant trois formes et un oculus. (Les vitraux du sanctuaire datent de 1967 ; ceux de la fenêtre est portent la signature de l'artiste : J. Archepel pinxit 1967 ; ils ont été offerts par un paroissien). Cette travée abrite l'ancien autel, remanié à la fin du XIX° siècle. La grille en ferronnerie porte le nom de Saint Pierre. On y trouve également une statue du Sacré-cœur, qui a été: déplacée du bas-côtés nord.

.A part la fenêtre du XVI° siècle de l'abside, les quatre travées (chœur et chapelles) datent du XIII° siècle et sont voûtées de la même manière. Les nervures en amande et les formerets reposent sur des colonnettes d'angle dont les chapiteaux sont garnis de feuillages ou de crochets. Les voûtes du chœur présentent encore des vestiges d'une décoration picturale remise à jour en 1921 et qui daterait soit de l'origine de l'église, soit, plus vraisemblablement, du début du XVI° siècle. On peut distinguer dans le chœur un Christ bénissant et les instruments de la passion ; dans la seconde travée, chaque quartier de la voûte comportait un animal, symbole des 4 évangélistes :

 

A l'est l'aigle de Saint Jean, pratiquement effacé

Au sud le lion de saint-Marc

A l'ouest l'homme ailé de Saint Matthieu

Au nord le bœuf de Saint Luc, le mieux conservé.

.La dédicace de l’église à Saint Pierre apôtre était gravée sur une pierre, aujourd’hui disparue, scellée dans le mur du chœur, côté évangile.

.Des croix peintes sur les gros piliers du chœur sont les témoins de la consécration de l'église en 1479. D'autres, sur les piliers de la nef, ont disparu avec ceux-ci en 1895.

 

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LA CHAPELLE DE SAINT JACQUES (côté nord)

 

  Elle a été ajoutée au chœur au XIII° siècle.

Elle appartenait au seigneur d'Osny, qui y avait droit de sépulture.

.Dans cette chapelle ont été inhumés, entre autres :

« Dame Marie Magdeleine Le Sueur, épouse de César de Chastellux,  seigneur d'Osny » et son fils Nicolas Michel, tous deux décédés en 1659. Le mausolée érigé en 1660 a été déplacé en 1748.

.On pouvait y voir également la pierre tombale de « François Maître, de son vivant laboureur, de Guillemette Mainet, sa femme, et de leur gendre Jehan Landrin, boulanger », avec une longue inscription mentionnant les messes et les fournitures à exécuter par l'église de céans à la suite de la donation de terre faite par leur fille, Jacqueline, selon l'acte notarié enregistré à Pontoise par-devant Raoul Le Vasseur, le 3 avril 1600. En haut, une gravure représente le Christ en croix, avec, de chaque côté, un homme et une femme agenouillés. En bas, figure une tête de mort, avec un os sous les dents, entre deux pelles. Cette pierre a été offerte au musée Tavet par le Conseil Municipal d'Osny en 1895.

 

Le côté est reçoit la lumière d'un vitrail rond, moderne ; sur le mur nord, il y en a un autre, en lancette.

 

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LA CHAPELLE DE LA VIERGE MARIE (côté sud)

 

  Cette chapelle aussi a été ajoutée au XIII° siècle.

.Elle a été restaurée par les habitants d'Osny et d'Immarmont en reconnaissance après la guerrre de 1939‑1945.

.L'autel actuel date de 1943.

.Le vitrail côté sud date aussi de 1943 ; il représente l'Adoration des bergers, au-dessus du portrait de l'abbé Léonard, ancien curé d'Osny. A l'est, au-dessus de l'autel, se trouve un vitrail plus récent.

.La statue en pierre de la « Vierge mère » est une reproduction, agrandie, de la statue originale, de la fin du XIII° ou du début du XIV° siècle, qui a été classée en 1959.

.Au sol, on peut discerner :

 

En partie encastrée sous le socle de l'autel, la pierre tombale de Christophe Chenneviere, curé d'Osny, sur laquelle on distingue encore l'effigie d'un prêtre, revêtu de ses ornements sacerdotaux et une inscription.

A gauche la pierre tombale de dame Marie-Anne Porlier, décédée à Busagny le 17 juin 1716. L’épitaphe, en partie effacée, est transcrit ci-après.

Au mur

Est apposée une plaque de marbre noir portant l'épitaphe de Guillaume Crespin, curé d'Osny, décédé en 1668.

 

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LE TRANSEPT

 

  Le transept actuel, c'est-à-dire la travée qui supporte le clocher, est constitué des parties les plus anciennes de l'église. Les croisillons du transept datent de la première moitié du XII° siècle. Bien que non classés, ils sont la partie la plus ancienne et la plus intéressante de l'église. Ils conservent leurs grosses colonnes d’angle d’origine romane.

.Le croisillon sud. Les chapiteaux et la voûte ont été refaits au XIII° siècle. Les nervures de la voûte sont monotoriques et il n'y a pas de clef. Il est orné d'un vitrail installé en 1943 représentant l'Adoration des mages, et, dans un médaillon, le portrait de l'abbé Leulier, ancien curé d'Osny.

.Le croisillon nord, partie la plus ancienne de l'église, a conservé de l'origine de magnifiques chapiteaux romans du XII° siècle sculptés en faible relief. L'un d’eux a conservé sa décoration de palmettes entrelacées avec des masques humains. La voûte surbaissée a été refaite à la fin du XII° siècle (deux tores séparés par une arête, sans clef). Un vitrail en lacette semble être du même artiste que ceux de la chapelle Saint Jacques et de l'abside, il est daté de 1969.

.La croisée du transept a été modifiée et surhaussée au début du XIII° siècle lorsque l'on a remplacé la nef et le chœur de l'église romane. De nouveau modifiée en 1895 lors de la reconstruction de la nef; elle a alors perdu ses chapiteaux romans (dont l'un a été recueilli au Musée Tavet). Mais elle a gardé sa voûte du XIII° siècle, qui a toutefois été percée d'un trou de cloche. A droite, un trou d'homme pour l'accès à l'horloge.

 

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LE CLOCHER ET LES CLOCHES

 

  Le clocher actuel a été édifié au début du XIII° siècle, ainsi que sa tour d'accès. Il reprenait le modèle en vogue de l'époque - le premier de ce type étant celui de Nucourt. C'est un beffroi de plan carré, de proportions élancées, appuyé à chaque angle par deux contreforts entre lesquels se dissimule une colonnette. Il est percé sur chaque face des deux lancettes jumelles qui portent des arcs rehaussés d'un boudin et d'un sourcil de têtes de clous.

.Sous la toiture en hache (qui a remplacé en 1870 la bâtière d'origine) règne une corniche de petits modillons cubiques.

.On accède au clocher par un escalier placé dans une tourelle carrée située dans l'angle du croisillon nord et de la nef.

.Comme le chœur, il est classé Monument Historique.

.Au XVIII° siècle, le clocher a compté jusqu'à cinq cloches :

Une moyenne, baptisée « Jeanne‑Catherine» en 1734

Une grosse, baptisée « Jeanne‑Christine » également en 1734

Et trois autres, de 1603, 994 et 726 livres, baptisées en 1782 respectivement « Philippine‑Léontine », « Marie‑Antoinette » et « Amandine‑Marie ».

A la Révolution, toutes les cloches furent réquisitionnées pour être fondues.

 

Les deux cloches actuelles ont été baptisées en 1819.

 

La plus petite, côté place, date de 1818 ; elle a été fondue par Osmon-Dubois, de Paris, et baptisée « Scipion‑Marie‑Tranquil‑louise »

La plus grosse, côté Viosne, date de 1819 ; elle a été fondue par Morlet à Pontoise, et baptisée « Charlotte‑Marie‑Jenny‑Clémence ».

 

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A L’EXTERIEUR

 

  L'extérieur des parties anciennes (croisillons, abside, le clocher et sa tour d'accès) a été restauré en 1982 sur l’initiative de la municipalité.

.Les murs latéraux de l'abside sont surmontés d'une jolie corniche de têtes de clous, portée par des modillons cubiques

.On peut noter dans les murs la présence de pierres de réemploi (angle sud-est, extérieur de la sacristie).

 

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EPITAPHE DE Mre CHRISTOPHE CHENNEVIERE

«  Cy gist discrette presonne Mre Christophe Chenneviere luy vivant prestre curé de l'église de céans lequel decedda le 29° jour d'avril 1610. Pries Dieu pour lui »

 

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EPITAPHE DE DAME. MARIE·-ANNE PORLIER

« Cy gist le corps de Dame Marie-Anne Porlier vivante épouse de Haut et Puissant Seigneur Messire Hierosme Flahault chevalier Seigneur de La Billardrie et autres lieux Brigadier des armées du Roy et Major des gardes du Corps de Sa Majesté chevalier de l'Ordre Royal de Saint-Louis, laquelle est décédée en sa maison de Busagny le 17juin 1716. Requiescat in pace ».

 

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EPITAPHE DE GUILLAUME CRESPIN

«  M. Guillaume Crespin, curé de cette église, y a légué 30 livres de rente frontiére a prendre sur Nicolas Lavrence et Clavde sa Fême, povr entretenir le service dv Rozaire, faire sa prière tovtte les Fêtes de la Vierge et le dimanche dv Rozaire à l'offerte de la messe qvi sy dit les Dt jovrs, chanter vn salvt entre vespres et complies avec l'ossension dv St-Sacrement tos les premiers dimanche doctobre le lendemain vpe messe havte dv rozare. A son intention il a encore done donc un calice dargent dore et 10 de rente ov povr pareille Some a distribver avx pavvres DAUNY le jevdi absolvt apprendre svr le Covvent des Vrsvlines de Pontoise svivant le contrat fait devant Denis et Langlois notaire à Pontoise, le XI May 1662 a perpétvité. 11 deceda le 30 ôbre 1668 » 

 

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DEDICACE DE L’EGLISE (14 octobre 1479)

« L'an de grâce mille quatre cens septante neuf le quatorzième jour d'octobre a l'honneur de Monsieur saint Pierre apostre, patron de Ony près Pontoise fut dédiée icelle église par réverend Père en Dieu Monsieur l'Evesque d'Hipponise ès présence de discrettes personnes messire Henri Poupel, curé, messire Andry Le Tellier vicaire … Thomas de Vulsaine clerc dudit lieu, prestres, & de Guillaume Boubel qui a fait faire ce présent tableau. »

 

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